Une balade le long du Chenal d'Ors, à Oléron... un autre univers. L'activité était un peu ralentie, en ce début d'après-midi de juin, mais quelques ostréiculteurs s'affairaient encore dans leurs cabanes et autour des claires.
Les rives des claires témoignent du travail sans cesse repris : étayage, fauchage, curage...
L'étrangeté de ce monde augmente le sentiment d'admiration pour le métier et la beauté de ces paysages façonnés par l'homme.
J'aime ce fouillis des machines autour des cabanes, comme autour d'une ferme...
Les rives des claires témoignent du travail sans cesse repris : étayage, fauchage, curage...
L'étrangeté de ce monde augmente le sentiment d'admiration pour le métier et la beauté de ces paysages façonnés par l'homme.
Je ne connais pas ce monde, merci Gine pour ton éclairage ! Bonne journée :)
RépondreSupprimerUn monde juste à côté, mais qui a ses propres règles, codes, mots et paysages..Si proche, si loin, si beau à observer!
RépondreSupprimerSouvenirs de deux étés passés là-bas, il y a très longtemps et déjà....
RépondreSupprimerJe suis toujours admirative de ta façon de cadrer tes sujets. Il est vrai que les claires s'y prêtent à merveille.
RépondreSupprimerCe soir, je passe le pont et ma soirée sur l'île d'Oléron.
RépondreSupprimerJe penserai à toi.
Biz
Ce me fait plaisir de voir des photo d'Oléron. Je connais bien... mon papa a un pied à terre là-bas (aux Sables Vigniers)... peut-être que tu es allée flâner de ce côté ?
RépondreSupprimerBiseeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeeeeeee
Surprenante cette photo (la dernière) avec le sol craquelé!
RépondreSupprimerJ'aime particulièrement la 2e et son désordre apparent.
RépondreSupprimer